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Vous.luy direz qu’un peu de son esprit
Me viendroit bien pour polir chaque ?crit.
O?oy qu’il en soit? ie me fais fort de quatre;
Et je pr&tends, sans un’seul en rabatre,
O.?’au bout de l’an le compte y soit entle?;
Deux en six tools, un par ehacun quart e .
Pour seuret&, j’oblige par promesse
Le bien que i’ay sur le bord du Permesse.
M&me au’ heroin n6tre ami Pelisson
Me vleieera d’un couplet de Chanson,
Chahso?’de luy tient lieu de longue Epltre?
Car il enest sur un autre Chapitre;
Bien nous en prend; nul de nous n’est f?ch&
O.?’il soit ailleurs iour et nuit emp?ch&
A mon ?gard je juge necessaire
D? n’avoir plus sur tes bras qu’une ariaire;
C’est celle-cy: i’ay’ done intent. ion
De retrancher route autre penston:
Celle d’Iris m?me, c’est tout vous dire;
Elle aura beau me coniurer d’&crire,
En luy pay.ant pour ses menus plaisirs
Par an trots tens soixante et cmq sofipirs;
-(C’est un par io. ur, la ,somm, e,,est,assez ?ande)
’:Ie n’entends point apres qu. el!e aemanae
Lettre ny �ers? protestant de bon eceur
O?e tout sera ?’ard& pour Monseigneur.

XI.

ÉPITAPHE D’UN PARESSEUX.

Jean s’en alla comme il estolt renu;
Mangea le fonds avec le revenu,
Tint les tresors chose peu necessaire;
Quant à son temps, bien le sceut dispenser ;

i. La Fontaine a publié cette épitaphe et la suivante en La Font. V.