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PO.SI ES DIVERSES, Et nu] des Rys passez ny du siecIe o? nous sommes N'a s9fi si b'en ggner l esprit avec le coeur. Dans les emplois de Mars, vos s, v6tre conduite, V6tre exemple et vos yeux anlment nos Guerriers; Vous tendez par tout l'ombre de vos lauriers; La terre enfin se voit rduite A vous enir offfir cent hornrouges divers; Vous avez enfin sceu contraindre Tousles cantons de l'Univers A vous obeYr, ou vous craindre. J'tois pres de ceder aux destins ennemis, Quand 'ay yen les Genois soumis, halgr les faveurs de,Neptune, Malgr des tours oh 1 Art humain Croyoit erichairier la Fortune O,? vous tenez en v6tre main. Cette main me televe, ayant abaiss Gene; Je ne I'esperols plus, je n'en suis plus en peine; Vos moindres volontez sont antant de Decref; Vos regards sont antant d'Oracles: Je ne consuite qu'eux; et malgr les obstacles . Je laisse agir pour moy vos sentimens secrets. qui avaient td chassds de leur patde et obligds de se rdfu-' gier en France, aprks la conspiration de Louis de Fiesque, comte de Layugh en I47-li avait publid une: Requeste au Roy, et memoire de 3f" le Comte de Fiesque Pour ses Preteritions et Oroits, contre la Republique de Gennes Paris, chez J. Guignard et Jacques iilery, M. pc. rxxxt,. in-a 6 vaees. A la rage 5 se trouve une: Declaration du-Roy 'eri fJ,eur du .ieur Comte de Fiesque et ses ]rres. Louis XIV forga la rpublique de Gnes h ieur payer cent mille dcus. Le comte de Fiesque lui rdcita, le 7 novembre 168Ia piece de vets de La Fontaine pour Pen remercier. Elle fur publide pen apres dans les Ore, rages de prose et de pogsie des sieurs lVlaucroix et La Fontaine (t. I, p. 62).