Acr?. I, Sc?x? V. 479 I1 faut n'� plus songet, et que nostre memoire Se charge du seul soin d'acquerir de la gloire. ACHILLE. Est-ce en le redoutant qu'on espere en trouver ? La gloire est pour hy seul, il f?ait nous l'enlever. U?.?ss?. Evitons doric au molns Iahonte et l'infamie; �Empeschons?, s'll se peut, o?ue la Grece ne die: ?( Je suis mere f?conde en en[ans malheureux; a l'ay form? des h?ros, Troye a triomph? d'eux. ?c R?duite b. }es revoir sans lauriers en leurs viiies ? r< Je ne soufriray plus qu'ils quitent ces asiles ? - ? ds la?ssent leur foyer? et cherchent aux combats ? Un renom que les Di.eux ne leur accordent pas. ? ASAX. Je sauray m'excepter de cette obscure vie, Et veux?aincre ofimoudraux champs de la Phrigie O); Moy vivant, un berge? ne sera point chez soy " ' Tranquille posses?eur de l'?pouse d'un Roy. ' J'auray des compagnons ? p'unir ceI? outra'ge; Vous verrez plus d'un chef tenir roesroe langage. . D n mesme esprit que tous, seigneur, soyez porte. Nous nous som/nes llguez co.n, tre cette cit?; Siquelque Grec se plaint? qu on remette la peine . A des temps oth les Dieux auront fait rendre H?leine. Vous les aurez alors contre vos ennemis; Et, si vous me mettez au rang' de vos a.mis ? Si vous trouvez qu'Ajax ayt'assez de radiance, Moy-mesme ie vous veux ayder dans la vengeance: Aydez-nous dans ce siege, appuyez nos efforts. i. Premier texte: Q3e je trlomphe ou meure aux champs de la Phrigie.
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