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S c ?.r?E VI. Et rendre vos donlents encore aussi celcbres', Vous vous rui'nefiez en d6pens�s funebres, JULIE. y des M.. aris, Toinon ! des Amis, des Amis' vous plaire, i v6tre ordr?, ils sont ton'ours?o ',. On s(?ait s'approprler.leurs divers caract?eJ?es; fimlS Le Conseiller se rend utile ? �os affaires, On conte au Lansqucnet le-riche Financier, Le Partisan commode est un bon d6p. ensier? Le Courtisan ?rossit la foule aux Tml ' . .,..., P. , ]eries, s-, ?ooe nous rovertit par ses minauderies, Le bel Esprit en vers distingue le (,) commun, Et, parmy ce ramas, le ccenr (=) en regarde un. TOINoN. entens? i e roy, Madame, o? l'estime votis main Et Montrerdl d'nn clin d'cell tout contraire a la hai? Sera le regard6, n'est-ce pas ? JULIE. . Nons verrons, s'ii r?pond ?t roes vceux? ceqne'nous en ferons. S.-AMAN% a la fendtre. Vons ponvez derinet ce qu'elle en voudra faire. Eh'.' c'est un.jeu. DOI?.?E. ,. ... S..A?*. O?el jeu ! " JULIE. '... Voilat0ut le mystere. Pour voit de ces groans le?cceur i dlcouvert, ?leur viens d'inspirer ex r?s le 'eu du Verd est dans ce dessein m?Pme, etlpour le voir:? Q_u.e i'emprunte la voix du Printeinps et de .F1}?e� I. Du, dans l'ddition de ?729. ?. L?es�riG dans les 6ditions de ?699 et de ?7o?.