441 ].E �OUS PEENS SA?NS �EED. S.-^?A?. Montreiiil ? LOBIN. Oily, ce beau ills, ce tourneur de prunelie, O..?i la Iorgnoit, 'dit-on, et qu'elle [orgnoib'elle. S.?AMANT. O,.qe font-ils en ce?; lieux, Lubin ? LUBIN. Je ne s?ay pas, Et ie sqay seulemeht que de v6tre tr6pas Elle .ne teur a fait aucnne cbnfidence ? On r/e parle 'que j6ye et qne r6io?issance. ' Tousles louts ce ne sont que phisirs bout A bout, Promenades icy, Menestriers par tout, . Petits ieux, c6te-verte, allegresse, ripailles, Serenades, Concerts, charivaris, crevhille?, Vous royant(,) tout de bon gis6 dans le cercueil; Et c'est.de. la ?a�on qu'elle en porte le deMI. S.-AMANT. A se perdre elle-m?me e]le s'est engag&; Son pete ? qui la croit fortement affiig&, Et q? ie .d6trompay dnq ou six ionrs apr&s, Avec moy dans ces lieux est venu tout expr6s: T?moin de' son desordre it n'aura pas la force, Entre sa Fil.le et moy, d'emp&her le divorce. 'LUBIN. Vous ne pouviez venir plus ?1 propostous d?ux. Du premier i6u. r de Miy renoiivdlant les jeux,. On ne va your ?cy que Fates boccageres, Priatemps, Flore, Zephirs, et Bergers et Bergeres, Pour prendre des plalsirs de toutes les faqons, Mflant a lears Concerts nos rus. tiques chansons; Nous avons ordre expri?s de ven,r en personne... Entendez-vous d6ia cornroe Fair en r?sonne ? ?. gous troyant, dans les a?uvres diverses de ?7?9.
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