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SC?N? D?RN?RE. �{87 THIBAUT. Je n'ai morgu? pas voulu boire dans la Coupe: elle eut peut4tre dit quelque chose qui m'au- roit chagrin& ' PERRETTE. Elte n'e?t rien dit; mais tu as bien �fait: je t'en aime davantage. ' TOBIE. Perrette, qu'as-tu fait de ma Fille ? LUClNDE. La voi[fi, mort Pere, qui se jette /? vos genoux pour vous demander pardon. TO?IE. Va, ma Fille, je t? pardonne. ANSELME. Par quel moyen ces Femmes sont-elles ' entr&s chez moi ? . ?10SS?LIN. Je ne seal. Ce sont peut4tre elles itui ont fait naltre ? Monsieur votre Fils les id&s... SCENE DERNIERE. ANSELME, TOBIE, LELIE, LUCINDE? PERRETTE? JOSSELIN, THIBAUT? BER- TRAND. ?'5?%? ERTRAND.. Ce n'est pas par-lA, vous dis-je. I?[?,i? LELIE. Non, non, laisse-moi.. Mais ? [[?-?que vois-je ? Ah! c'est ce que je cherche... ?Oiii, mort Pere, les voilg. Souffrez que je �les a. me?ne (j) g ma chambre; ie vous promets de n'en

sortlr lamaIs.

ANSEL?E. Oh suis-[e ? que vois-ie ? ou'entends-ie ? LELIE. A,h! mort Pete, n'allez pa? grondeb'd? .. peur de les effaroucher encore. ANSELME. C'en est fait: la Destinge et' la Nature sont plus fortes que mes raisonnemens. Votre seule l?resence lui en a plus appris en un moment que je ne lui en avois cach? pendant seize ann&s. ?. vat.: emm?ne,