Sc ?:N? XVIII. 385 . . SCENE XVIII. ANSELME, TOBI'E, THIBAUT, JOSSELIN; LUCINDE gT PERRETTE. i ;?NSgLMI?. J-usques au revmr. 'Joss?.?I?. Vous plak-il boire encore un?oup ? 6 ?&.? ? v0?s le dez? ?ays IHI'BAUT. 'A moi v �' LUCIHDE. Per?ette, ton mari va boire. PERRETTE'. A quoi s'amuse+il ? Ce neest pas que ie craigne rien; ma?s le cmur me tape. JOSS?LIN.' A cause que vous ?tes un bon frere, en voil& razade: buvez. ., P ? ,, p �avoir si vous ?tes ai- me aevotre ?emme: ouvez. � �o Tm?apT; No?, ,morgu6 ? ie ne boirai point. Et si },(epaqae (!),.par hazard ? Tst,ga, voyez-' ,1 s ma?aarmt ae ma nature. ?and ie sCau- rois ?, en serois-je'plus gras ? en aurms-ie la iamho plus armte ? en dorm?roi?e plus que des deu?- en mange?rois-je autremen[ que par la bouche? Non pargu?! C'?st pourquoi, f?ere,'je suls votre I e 'pe omrm pmnt(2). ' ..... ' JOSSELIN. Voil& un rustre. d'assez bon sens. f? ANSELME. C'est ce.qui me semble; et je suis quasi ch& de n'avoir pas &t? de son humehr. L Vat.: Mloit se rdp?ndre. �2. Les ?ditions' modernes ajoutent ici: LUClNDg, a Perutry. Je ne croyois pas que votre hornrod f6t 'cette addition est d? plus maladroites : ?otre hotrune, n'appartient pas .an langage de Ludnde ? et d'ailleurs elle tutoie Pe?ettedans toutela piece. .
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