384 LA COUPE ENCHANT?E. resses, ie vous conseille de l'?trangler par.bonne amiti?. TomY.. C'e?t chez vous qu'elle a succ? ce mauvais lair-lb. 'GRIFFON. Oiii, oiii, cadedis, l'absynthe n'est pus plus areere quele lair que ie leur fais s'uccer; bers?z, bersez, veau Ganimede... Bous allez boir, veau frere. A la $ant? de la compagnie. La Coupe rlpand. �105SELIN. Ahy, ahy, ahy. GRIFFON. Bofiais! c'est que ie ne.la tiens pus droite. La Coupe rtpand. -JOSSELIN. Prenez donc garde. ANSELME..Voyez, voyez. , GRIFFON. La main me tremble. Tout rtpand. ]OSSELIN. Ah! l'on a approch? de 'votre d0maine plus pr&s (t) que de la ban-hen? (z). . MG?,.IFFON..Ma foi! ie n'y comprends plus rien. onmeur est bon ;. on le trahit..le sins sebere (?) et l'on me trompe. $and?s ! comment faut-il donc faire avec ces diantres d'animaux-lh ? Allons, on s'en'mordra les . doigts (4). Sans adieu. ?. vat.: Oh ! l'on approche ?otre domaine de plus pros .... 2. Dans les 6ditions modernes on lit en plus ce qui suit TOBIE Je savois que ce n'?toit pas ma faute. Je n'ai garde de donner ma fi[[e h v6tre ills: i[ n'en feroit qu'une vraie rien qui vai[le. P?aag'rTg. Madame, ? quelque chose le malheur est hon. 5. Vat.: rigide. 4. Vat.: Comment faut-i[ doric faire avec ces diantres d'animaux-[?.- ? TI-IlBAUT. Morgu?! ?;a est embarrassant. M. GR1FFON. On s'en mordra les doigts.
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