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SC?Ng XVII. 38:1 petit papa, son petit fanfan, son petit camuser ? ce qui fait que ma maison est ouverte Mous les honn&esgens. JO$SgLIN. Voil? un different qu'il est assez facile d'accommoder. Ces Messieurs se dlsent les choses de si bonne foi, qu'on ne peut s'emp?cher de les crolre: mais? pour s?voir lequel des aeux s'est le'plus fait aimer de sa femme par ses manieres, v6tre .Coupe enchantbe sera d'un secours merveilleux, et ie suis stir qu'elle les mettra d'accord; ie vai l'apporter 0). ANSELMg. Allez, Monsieur J'osselin, c-ela finira la dispute. ' GRIFFON. Cet homme nous'a fait recit de cette coupe, etje serai rabi de conno?tre par elle lequel est.le fat de nous deux': ie suis stir que ce n'est pas mol. TOME. Nous en allons volt tout ?t l'heure un bien penaut ! ie sgai bien quice ne sera pas. - ANSgLt?g. Voici 1? Coupe. TOBIE. Donnez? donnez. Je serois bien f3.ch? (2) d nen has faire essal le nremler. ?our vous montrer comb?en i e sins stir de mon fa?t. Levin se alpand. JOSSgLIN. Ah ! ah ! To? v. ue vois-'e ? le r?pandu, jepense ? .0,? I �vinest �JOSSgLIN'. Oh[ par ma foi ! le petit papa, te petit fanfan? le petit camuset en tiehr. GalVFON H?(?), qui de nous dus est le fat ? hem ? Cadedis, mon veau frere, bous me ferez rhison de la conduke de ma soeur. Tom?. Vo?lg une m&hante creature ! je ne l'aarois jamais cru. �JOSSELIN'. 0?and elle viendra vous ?touffer de ca- 1. vat.: Je ?ais ?otts Papporter. 2. Vat. : Je seroisfdchL 3. vat.: Eh! doric.