Sc ?,N? X. ?7? LELIE. Vous mentez, Monsieur Josse/in. JOSSgLIN. Point du tout. LI?,LIg. On me cache bien des choses, Monsieur Josselin; vous lisez dans des Livres, et mort Pete v s?ait life aussi. Pourquoi ne m'a+on pas apl?ris g� life? LgLIE. Je ne puis plus vivre cornroe cela e un? honte d'?tre si ignorant oue ie le e,,;? ? ?,,t? c'est ' "F?,? urole qu 11 n y aura ?s moyen de retenir. LELIE. Et si mort Pete renoir g mourir, Monsieur Jossdin, car je sqai bien qa'on meurt? que devien drai-je ? . - ?OSSEL?N. Vous deviehdrez O) mon Fils, et ?e se- rois votre Pete pour lots. LEnin. Vous vous mocouez de moi M ' selin. Ce n'agt ...... - , , _ons?eurJos- .... ... --- r?N?omme cema que cela?e fa:t; et ce ?cLo?t a mon tour ? &tre Pete de ouelau'un.. ' ?ossgLm. Et b?en !' vous seri?z.l? mien, si vous vouliez, et je serois votre Fils, moi. - ? .?EL?. Oh ?ce n'est pas cornroe cela ue cela xan, assur?ment Vous ne.,?L? ..... q.. ?e - . - ?u?cz pas me le alre ?al , s 5yELIN. Oh? vous sqaurez, vous sqaurez que vous etes un petit sot, et que vos discou guent. rs me faU- LELIE. 'Monsieur Josselin, si vous ne me menez promener, j'irai'me promen?r tout seul, je vous en ave?is. .. JOssgnus. Ofii? et je vais moi, tout de ce pas, avertit votre Pete de vos ex?avaghnces, et vous ver- fez apr&s off, je vous menerai promener Oh? ! vo?ez-vous.?e ?etit impudent, avec ?s'-(o.?-?a?l devrois ...... ; ...... ?'-?, ? ?orural a'ici. ouand ;e .......... r ?es pas (:) de la porte. :' .'. ' ?. Vat.: ?ue de?iendrois-fe. ? Vou$ de?ien?ri?... ?. Vat. le gat. . .
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