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Sc?z VI. J'aurois, mor?u?!'biau le'demand?r ? Farrette, elle ne l'avou?roitViamais? elle e?t. tro D dessal?e. ' JOSSEL, IN. Nous layohs lCl un- moyen stir po,ur en scavoir la veritL � THIBAUT. Et qu'est-ce encore ? ' ?[OSSEL1N. C'est une CoupO qui est entre les mains du Seigneur de ce CMteau f'quand elle est Dlei?e de vin? si la Femme de celui qui y boit hi esVfidelle, il n'en perd pas une,goute; mms si elle est infidelle, tout [evin r?pand ? t?rre. Tm?aUT. Cela est. bouffon! Et oh dishie a-t-il p?ch? chela ? JO$$ELIN. II l'a achet&e d'un Arabe qui, soit par. composition ou par-enchantement, y avoit attach$ cette vertu. TIIlBAUT. Et pourquoi.ce: Monsieur acheta-t*il ce joyau-lh ? ' ":? JOS?ELIN. Par curiositY; ' Tm:?^u?. Est~ce qu'il ?toit mari? ? JOSSgL[N. Ohi. TH1BAUT. J'entends, j'ent?nds; il vouloit voir si sa Femme... n'est-ce pas ?. ' JOSSELIN. Justement. � Tms^u?. D'abord qu'il eut la CouDe , il y but, gage ? ' Joss?4m Vous l'avez ditl Tms?u?.' Elle r?pandit ? Joss?L?s. Non(t). .' .... THIBAUT. Morgu? ! c'est ?tre bien Dhs heureux que sage ! il s'en tint I? ? JOSSELIN. Non... TH1BAUT. II y rebut ? JOSSEI?[N. Oiii.' ' - ' z. On lit ici dans les dditions m, ode?nes THIBAUT. I?o?1 ? Joss?.iN, Non. Cette r?p&ition ? d'un effet assez piquant ? a peui-?ire ?t? aj0utAe par'le$ acteura.