SCENE V. LUCINDE, PERRETTE,'JOSSELIN? BER- TRAND, THIBAUT. L?OSSE?.IN, dans le Chdtea?. Bertrand Bertrand! . : ' BERTRAND, Oyez-vous ? noi?s sominex flambez, s'il nOUS'VOit.- UCINDE. Oh nou$ cachet ? BgRTP,^!qD. Rentrez dans ma logette, ..et n'en vrez point:la porte 0') ? .perschne. , �SCENE VI. 30SSEIz, I?N, BERTRAND, THIBAUT. ?OSSEL?N. O?i est-ce donc qui crie de la ?�?.? �? sorte ? ...... ?(?}1 ]? BERTRAND. I1 faut que ce soit quelque THIBAUT. H? ! phrlez don% vous autres; ?tes-vous JOSSELXN. Non. - TH1B$.UT. VOUS 6tes doric sourCs ? JOSSELIN. Encore tooins' THIBAUT. Et pourquoi donc ne r?pondez-?ous pas ? � �JOSSELIN. Parcequ'it ne noui pla?t pas. THIBAU,T,.. Palsangu? ! vous ?tes tvop dr61es ! 'Puis- que �ous n 6tes ni sourds ni muets, il faut que e vous embrasse; ofii,'morgu? ! ie sis votre serviteur. JOSSEL1N. Est.ce que nous nous connoissons ? THIBAUT. Je ne scai pas; mais ie croi que nous ne nous sommes iamais vhs. JOSSEl. IN. C'est ce qui me semble. ?. Var.: ?V'en ourfez la porte.
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