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ACTE I, SC?NE IiI. Ac?s. Et n? Fayan?.pas {air, ie dois perdre le iour. ]'v conrs, et le vous vms vanget de cette offense? h{digne qhe ie suis de mourirA vos yeux. G?I.?TgE. Ne bougez, mortel; c'est aux Dieux. O?e l'on doit reserver le soin de la vengeance. Acrs. Jesuis mortel, il est vray; reals aussi Je puis par mort tr?pas hire bonnear ? vos charmes Les Dieux n'en usent pas ainsi: . -Leur ardeur est le. gere; ils aiment sans alarmes; Et vous mentez un Areant Q.?i s'abandonne A son tourment. TIMANDRE? ACIS ET CLIMENE? ensemble. . ,} II n'est que d'avoir un Areant Q.?i s'abandonne A son tourment. TIMANDRE, ?t Cl?mene." Le mien n'a point d'?gal; et cepe.ndant, Climene,. Q.?'avez-vous fait encor pour soulager roes maux .? jQ_ue sert de dire itous propos: e suis contente de sa peine ? Payez-la donc, ing?'ate, insensible, inhumaiae! CLIMENE. Toniours les Bergers Nous nomment cruelles, Et tofiiours leurs belles Les nomment legers. On leur est severe; On fait prudemment: Cruelle Bergere Craint volage Areant. G ALATI?E. Retirez-vous tous deux; t'oy? Climen% den?eure.