Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/7

Cette page n’a pas encore été corrigée
ant par Madame, et quelquefois Madatne de’-Jehan

dame de Pierre Madame de Martin etc. )) 11 n’&oit peut-&re pas inutile de rapprocher ce passage d4 celui de La Fontaine pour tablir la leton.que nous avons suivie : car, 1orsqu’on rimprime fiddlemeat un text on risque fort d’&re accus de reproduire des fautes d’impression. ’Le bibliophile Jacob a publi6 chez le libraire Delahays. une nou4dlle edition des Contea 6fi’ aprs avoir. arlnonce qu ? il a confute le texte de II.’ Walckeriar avec ribere, il aioute" ( Loin d’ado’pter3 cornroe ’l'a fait IVi. IViartyLaveaux l’orthographe des anciennes ditiongnous nous soreroes efforct ’d'clairci3 le text souvent obscux de notre auteur en y introduisant une ponctuation toue modeme et e distinguant touiours le dialogue ’du Itcit. De plus nous avons cotrig6 quelques fautes ’d'impression qui,avoient chappt aux’pr6cdents tditeurs.’) Nous ne.parlerons pas de l’orthographe, on compend que IVi. Paul Lac-oix n’ait pas song f la reproduire : la lecture de ’son difion en seroit alevenue trop difficile pour le public auquel ell. e serohie particulitrement destinte ; mais nous ne pourohs. laisser passer le reste sans e : pllcatibn. Dabord, lorsque le savant bibliophile annouch qu’il a confire notre texte avec celui de ’ . Walckenar, cela s’applique seulement aux ess oh nous avons signal des differences. ^insi IVi. Paul Lactoix n’a pas htsit fi bien accueillir notre restitution (page 47, note 5) qui le dispense d’expliquer sap#utoient par bu,oient cornroe il l’avoit fait autrefois dans.une dition publite chez Gosselin ; msia, dans lea endroits beaucoup pits nombreux ot nous avons r6tabli le texte ans le dir le bibliophile ne s’en eat pas mime doutt ; en voici.une.preuve que ie tire de ta page , et / laquelle i’en pourros alouter une vingtaine : d’aatres : t L’.utheur a done eralet ces deux voyes sans estre certain laquelle est. la bonne. ’est.au Lecteur t le derminer l&-dessus.)) Toutes lea tditions et celle, du biblio-. Pdhile en particulier, portent : h e dttermin’er ’, qui 0nn’e aucun sens raisonnable. ^ctuellemet examinons efteta de cette ponctuation toute modeme qui dlssipe si bien lea obscurits qu’on rencontre chez La FontSine. Dans dition originale du gaucon lea vets suivants sont sinai pone-. tu : Je,uis folle, Seigneur, De men enir ou rracher It cur .- Encore un coup ; il ne m’et guere.honneste ’ De demander mort dfunt.4mant

’oieau qui fait. on. seuf contentement. ’