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48 P1cH. e.’av, ofier quifl est. & propos pour l’un et pour {’autre nerocurer en l’estat ot nous nous trouvons. Premlerement, tenez-vous cartnine one. du ranmen v ’. ., t que ous n aurez plug rlen . souhalter vous ous ennuyefez : et comment ne vous ennuveriez-vous pas Dieu…. — ’ es x s ennuyent bten ; ds sont contraints de se faire de temps en temps des suiets de desir et d’inquietude tan. t. il est v. ray otue ’ l’entiere satisfaction et le-d6gous se ue. nn.ent la main ! Pour ce qui me touc,h,e, je prens un praiser extreme a vous’voir en peine,-d antant plus ue vostre imagination ne se forme are de. .. ’en " g. .monstres ( ! te, n, ds dmages de mapcrsonne) t mne soent tr&sagreaoes. pst pour vous dire une rmson plus particulier vo,us ne do. ute.z pas qu’il n’y air quelque chose en moy ae surnaturel, Necessalrement e suis Dieu, ou je suis Demon, ou bien enchantcur. &ivous trouvez que je sols Demon vous me hayrez : et si ie suis Dieu s vous cesserez de m’avmer ou .he m-aymereZ plus avec tantd’areur r qu on ayme les wteux aussl vlolemment que les hornroes. Qant au troisim il y a des enchantcurs agreables : le puis estre de ceux-lf, et nossiNe suis-ie tons les trots ensemble. ^insi le meil[eur pour vofis est l’incertitude, et qu’aprds la possession vous avez t,ofijyu. ? dequoy de,sir ?: c’est un secret dont on*he s estott pas encore avis&. Demeurons-en-Ig, si vou m’en ? oyez : je sqais ce’que’ c’est d’amour, et le dois sqavolr. . Psich se paya de ces raison ou si erie ne s’en pay elle fit semblant de s’en hayer ,nventoit mille ieux pour se d,rverti -. e,stoient dpoiflez, /’herbe des prairies fole : ce n estoient que danses et combats le Nymphes, qui se separoient souvent en deux troupes, et, distingues .ar des acharpes de fleurs comme par des ordres de thevalerie, se jettoient en suite tout ce que FIore leur presentok ; puis le party victorieu,x, dressoit un trophe, et dansoit antour, couronn d ceillets et de