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Lvr& rr, 43 ntassez-en pepinieres Plantez-en des forests entieres ; Des forests oa chaate ea toat temps Philoracle bonnear des bocages De qui le regne, en nos ombrages, Naist et meun avec le Pdntemps ; Meslez-y les sons lclatans De tout ce que les bols ont d’agreables Chantres Chassez de ces forests les sinistres oseaux ue les fleurs bordent leurs rmsseaux ; ue l’Amour hubire lurs. andres N’y laissez entrer toutefoq Aucune hostesse de ces bos u’aec un paisible Ze hire Et jamas avec un atre ; Point de tels Amans dans c lieux ; Psichd s’en tiendroit offens& : No les offrez point ses yeux, Et tooins encor sa pens&. ’ en ce canton delicieux Flore et poreone, qui mieux mieux, Fassent monstre de leurs richesses ; Et que ce couple de D&sses Y renouvelle ses presens

uatre lois au tooins tousles ans 

ue tout y naisse au tooins sans culture Tojours frais&eur, tojours erdur Tojours l’haleine et les sopirs D’une brigade de Zephirs. P ich4 ne se romenoir au commencement que dans les ; rdins, n’ont se tier aux bois, bien qE’on l’assurest qu’elle n’y rencontreroit quedes. Drydeet as un seul Faune. Avec le temps rile devmt’pus narme. Un iour que la beut d’un ruisseau I’avoit attire elle se laisa conduire insensiblement aux replis de l’nde. Apres bien des tours, rile paint sa source. C estoit une Grote asz spacieuse oh daas n bas-