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4 8 LETTRES. Est l’estre le plus Dont Dieu si soit a,is. Cornroe il y a long-temps que vous vous mlez de mes affaires, vous savez aussi bien.que moi que ce que ie dis est v6ritable. S’il 6toit possible que vous tixassiez le mercure pour quelques iours, ie me hasar.der. ois.d’aller trouver les personnes dont il sheit : .mas oe clemeurer tranquille Bois-le-Vicomte ’entlant qu’on r&p&era Paris mon op&a (0,.c’et ce qu’i ! ne faut esp&er d’aucun auteur, quel ue sae qu’il ’puisse &re. Je resterai done en un liqeu othgl e vas et viens cornroe bon me sembl et o/1 je puis cachef ma marche quand il me platt : ce sera autant de danger que j’&viterai. Toutes muses que vous &tes, entreprendriez-vous de me pr&erver du I&ril/t auoi i e m’exposerois en m’allant enfermer dan un chdeau o. madame d’Hervart et ses ni&ces n’pargnent tme vvante, et me retiendroient par enchantement contre tout droit d’hospitalit ? Q.9e deviendrois-je avec mon humeur volage, et qui ne sauroit souffrir nul attachement ? I1 me siroit bien de faire If le passionn& et le chevalier errant, moi qui ne serois pas recu cuyer .du moindre des h&ros de tousles livres d’Amadis. Oh ! si j’avois un empire, Si j’ttois roi du Ptrou !… de vots qu Herrart me va &re : Votre soubait est bien fou. i vous aviet,les couronnes, Eh bien ! qu’est-ce clue cela t ; ’eriez-vous de nos ersonne] La eonqute ce prix-ltl ? Vienne dupiter luimme, Et le dieu qui fait qu’ on aime, 1. LAstrte