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L,TTa,S. 433 Et commence cl sentir la Paix. de ne pense pus qu’elle tchape Aux premier3 soins du nouveau ? ape. Si le Saint Eprit mitjamais Quelqu’ un au Trne de Saint Pierre Pourqui le demon de la guerre Eust de la crainte et du respect, G’est Alexandre : car, sans dire Q.u’ nul État ii n’est _suspect, II a tout ce que l’ on desire, Experience fermett, Justice, et sagesse profonde. L’Olimpe interpose au Traitd ’ La prerhiere Teste du monde En bon sens cornroe en dignitt. Ds--present Sa Saintet S’en vacet ourrage entreprendre. 0 Paix ! ne tefais point attendre. Veux-tu que pour toy l’Univers Soupire encore deux Hivers ? Fille du Cid et d’Alexandr Car je te garde tous ces hornS, Renvoye au Nord les Aquilons ; Fais q’u'avec eux Mars se retire, Faisant place Flore, Zephire. Citer kes Dieux, me va-t-on dire, En purlant du Pape, est-il bie, n ? Non, mais FArt des PoStes nest rien, Lents discours n’ ont beaut ni grace Sats ce language du Parnasse. O.u Apollon s exprime en Payen, TrouPe-t-on cela fort ttrange ? Pour b-annir pourrant ce mlange, Et parlet du Pape en Chrtien, Souhaitons que Dieu l’illumine, Et que la Paix, par son tooyen, Vets les Fiddles s’achemine Avec l’assistance Divine a ’ontafne. N 11I. 28