Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/434

Cette page n’a pas encore été corrigée

430 LETTRES. LETTRZ XL (0A SON A,q’V, SS SRENtSSIMV. MONSEIGNEUR LE PRINCE DE CONTI. (Novembre 689.) MONSEIGNEUR, On m’a dit tant de lois que Vostre Altesse Serenissime estoit en chemin et que roes Lettres ne la trouverolent plus fi [’Armbe au’enfin i’ai manauk l’occasion de faire parfir cefle-y. En 4uelque 11eu cju’elle vous soit present&e, le vous diray, f mort orinaire, que les choses nous paroissent suspendu&s, tant en Flandre.qu’aux bords du Rhin, et rien ne r&veillant les esprits, il est arriv un changemerit dans la Robe et dans les Finances qui nous a dOin matiere de raisonner. On dormoit ici qaand te Roy, Ayant ses raisons et tres-sages, Parmi les Gens’d'art haut Employ A faet un vrai remumenage, Et mis Hatlay premieremerit A la teste du Parlement. II enest digne, et ’ose dire Que Themis en tout son Empire Trouveroit  ? ene aujourd’hui Un Oracle approchant de lai. Ne laidez i ? a ant bonne cause ; ,P.q Y c’ est mathtenant la seule chose Q_ui peat faire au gain du procez. Voas contestez avec succez Par-devant le Dieu des allarmes, . Publie pour la premiere lois dans les tuvres posturner, page o4.