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qn’l iene son merte, i’l est touchseeretement de’ cd’tes qu VoWs li aez donn&s. ’ Je. Voudr.ois que ma Ltre fat sez hteuse ur aVok re&me succez aapr& e vous. Vous possedez tout le bon sens i sert consoler des maux de la vieilluse’ : Vous avez plas de’ eu que n’ont les ’eunes gens . . E morns qne vous .Apr6s a.voir par16 de vostre esprit, il hut.dire un m de vostre morale : S’ accommoder aux ordres Aax plus heareux ne9oner point d’envie, De ce fanx air d’ espt q’ue prehd un libertin Cormoltre avec le temps cornroe nous la fo(ie, Et dans les vers, lea, muqique et bon vm, Entretenir son innocente vte C’ est le men d’ en reculer la fin. Monsieur Waler(), dont nous regrettons la perte semblement, a pousse la we et la wgueur de 1 espr t iusqu’a l’gge d e quatre-vingt-deux ans.. Et, dans la dou’lear qae m’appoe. Ce triste et malheare trtfs, Je dirois en ptenrant qne route Mnse est moe, Si la vtre ne vivbit pas. 0 vous, noavel Orphte ! ’6 voas, de qai ta.Veine Pet charmer des ’Enfers ’la noire Soaraine Et le terrible Dieu q’on appelle Pluton, Daignez, tout-puissant La.Fontnine, Rendre Waler aa joar, au lien d’Anacreo 1. tl moumt le z ’octobre 687. . II y aid unvers faux dans les Cguvrespostumes et dans lesOguvres diversa : Rendre au jour noire Waler au lieu d’Anacr6on.