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pu. tou. t voir, nous reviendrions le lendemain et reconnotstrtons ses civilitez et les offres qu’il nous faisoit fie ne songems pas mals de dire cela, repartit cet hornroe ; i’ suis tous les jours attrap par des Allemans. Sans( 13. crainte de nous fascher, et par consequent de ne rlen avoir, il auroit, je pense, ajoust : A plus forte raison le seray-je par des Fram ; ois ; roesroe je vis bien que le haut de chausse de monsieur de Chasteauneuf lu.y sembloit de mauvais augure. Cela me fit rire, et]e luy donnay quelque chose. A peine l’eusmes-nous tongedit(5), que le peu Qui es r tort de four nous qmta. Nous ne latssasmes pas de nous renfoncer en d’autres allies non du tout st sombres que les precedentes ; elles pourfont l’est’re dans deux cens ans. De tout ce cant’on je ne remarquay’ qu’un mail et deux jeus de 1ongue paume, dont pourroit bien estre tourn vets l’orlent et l’autre vers le midi ou vets le septentrion ; le suis asseur6 que c’est l’un des deux : on se sert apparemment de ces jeus de paume selon les diffrentes heures du jour, pour n’avoir pas le soleil en veiie. Du lieu ob ils sont, il falht rentrer en de nouvelles obscuritez et marcher quelque tern s sans nous voit, rant u’enfin nous nous P.q retrouvasmes dans cette place qut est au derant du chasteau, moy fort satisfatt, et monsieur de Chasteau~ neuf qui estoit en grosses bottes, fort las. t. De reioinde M. Jeannart le tendemain/t CMtelleault. (roy. ci-dessus, p. 334.) 2. Premiere rdaction : sice n’eust . D’abmd quitd, puis laissg, et enfin congediL