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parallele avec la mere de Cupidon. Oe gagneriez vous & luy.resister ? Vostie desobevssance nous attireroit une peme encore. plus grande Oelle que puisse estre mort. avantur j’auray lieu d ? m.e consort q.u. and ,’je ne vous seray plus un sujet ae larmes. ta&atesvous de cette PsicM sins qui vostre vieillesse seroit heureuse : souffrez que le Ciel, punisse une ingrate pour qui vous n’avez eu que trop de tndress.e, et ctui ’vous recompense si mal des inquietudes et des sores que son enfance vous a donnez. Tandls que PsicM parloit h son pere de cette sorte, .le vieil ard la regardoit en pleurant et ne luy rpondoit que par des sotlpirs ; mais ce n’estoit rien com1)araison du desespoir oh estoit la mere. O. gelquesois elle couroit par les Temples toute &hevele ; l’autres fois elle s’emportoit en blaspMmes c.o. nt,re Venu.s ; uis. tenant sa fille embrass&, orotestot ae mounr, Ph,,,,…. ao’ nnff’ ou’on la 1 ostast pour l’abanonner un Monstre. I-I falut pqu. rtant ober. En ce temps-lb les Oracles.estment maistres de toutes choses ; on couroit au devant de son malheur prorare, de crainte qu’ils ne fussent trouvez ment.eurs tant superstition avoit de pouvoir sur les premiers hornroes ! La diflicult n’estit donc plus que de s{ ; avoir Sr uelle montagne il faloit conduire Psich& q’infortun& fille &laircit eneor.e ce doute.. <r,Q’on me mette dit-elle, sur un charmt sans cocner ny a’uide, et qu’on laisse aller les chevaux & leur. fantalkie ; le Sort les guidera infailliblement au neu ordonn& - ’ Je ne veux pas dire que ette Belle, trouvant tout des expediens, lust de l’humeur de beaucoup de filles, oui ayment mieux avoir un m&hant mary que de n’en voir point du tout. I1 y a de l’apparence que le desespoir, plfitost qu’autre chose, luy faisoit hercher qes facilitez. ’ . Ouoy que ce soit, on se resout tt partit ; on fait dress"r’un’appareil de pompe funebre pohr satisfaire