LETTP, ES 339 eu de mereoil-e, ny in’ eine ue ette entre rise me .P. P. q P itevot donner. Pour la peme ie ’n'en parle point. et tout mar que ie suis ie la veu bien p’rendr : ce’.clui me retient, c’est le dfaut de memoire ; pouvant dlre la pluspart du temps que n’ay rien veu d.e ce que i’ay veu, rant i e sgais bien oublier les choses.. Avec cela, i e crois qu’il est bon de ne point passerpar dessus cet endroit de mon voyage, sans vous en farela relation. Quelque real que ie m’en acquire, il y aura tousiours t profiter, et vous n’en vaudrez que mieux de sgavoir, sinon toute l’histoire de Richelieu au tooins quelques singularitez qui ne me sont point eschapes, parce que ie m’y suis particulierement arrestS. Ce ne sont peut estre p’as les plus remarquables ; mais que vous importe ? De l’humeur dont ie vous connois une galanterie sur ces marieres vous plaira plus que rant d’observations savantes et curieuses. Ceux qui cherche.ront de ces 9bservations savantesdans les lettres que le vous escrs se tromperont- fort. Vous sgavez mon gnorance en matere d architecture, et que le na re dt de.Vaux..que sur des memo res : le mesme avantage me manque pour.Richelieu : v6ritablement, au lieu de cela, i’ay eu lbs avis’dela concierge et ceux de monsieur de Chasteaunetif ; avec l’ayde de Dieu et de ces personnes i’en sortiray. Ne’laissez pasde mettre la chose au pis, car il vaut mi.eux, ceme semble, estre trompe de cette fagon que de. l’autre. En tous cas, vous aurez recours t ce que monsieur Desmarests a dit de cette maison. C’est un.grand maistre en fait de descriptions. Je me garderois bien de particulariser aucun desendroitsot il a pris plaisir h s’estendre, sice n estoit que la maniere dont’ie vous escris ces hoses n’a riende commun avec celle de ses.Promenades (). Nous arrivasmes done Richelieu par une avenue qui borde un cost du parc. Selon la verit (=) cette . voyez la note z de la page pr6cdente. z. La Fontnine avoit d’abord crit : Selon la vrit de l’affaire , mais il a ensuite effac ces trois derniers mots.
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