.o PS/CHt. Est un mOnstre cruel yui ddchire les cœurs, _Q_ui trouble maint estat, dtruit mainte famille, Se hourtit de so ? irs, se baigne dans lis leurs. l Urnvets enter II declare la guerre Courant de bout en bout un flambeau dans la main : On le craint dans les’ Cieux, on le craint sur la Terre’ Le Styx n’a horner son pouvoir souverain. ’ n yran qut de fers. chargejeunes et viettx. ’ . Q_u’on lu,,y litre Psicht ; qu’f, lle tasche luy lla’ire : Tel est I arrest du Sort, de l Amour et des Dieux. Menez-la sur un Roc, au haut d’une montagne, En des liux oh Fattend le Mohstre son l oux : ? vu une pome funebre en ces lieux l’accomagne, car elle doit mourir our ses sears et our ous. Je laisse /t iuger l’estonnement et l’affliction q,.ue cette r{>onse causa. Livrer Psichl aux desits dun monstre ; y. av0it-il ide la justice ce a ? Aussi les parens ae ta Belle 1outerent long-temps s’ils obevi’ot. ent. ’D'ailleurs le lieu ot’t il la faloit’conduii-e n’-vot_p. oint estt specifil par l’Oracle De ouel m, es Deux vouloent-tls parler ? Estot-i votsm de I Gre.ce ou de la Scythie ? Estoit ? l situl sous’l'Ourse, ou rla, ns les clim. ats b.r. filans de I Afrique ? (Car on’dit que aans cette terre ii y a toutes sortes de monstres ) Le tooyen de se resoudre/t la sser une beaut6 delicate sur un rocher, entre des montagnes et des predipices,
la mercy de tout ce qu’il y a de plus tpouventable
dans la nature ? Enfin, comment rencontrer cet eMroit fatal ? C’est ainsi clue.les bonnes gens cherchoient des raisons pour garder leur rifle ;,,m, ais elle mesme leur representa la necessitl de suivre I Oracle., Je dois mourir. dit-elle son pete. et il nest as iuste qu’une simple mortelle, com, : ne ’ suis, entrePn ’ I
