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l LITTRg. passt le valet de pied y 6toit, point de Mone mais eu r&ompeuse trois femmes un Marchand e disoit mot, et un otaire qi chantoit touiours, et qi chantoit tr6s-mal ; il reportoit en son pays quatre volumes de chansons. Parmi les trois femmes, il y avolt une Poitevine qui se qualifioit Comtesse ; elle par.oissoit assez jeune et de tail e raisonnable tmoinot, a.v. oir de ? esprit, dfiguisoit son nom, et venoit e paaer en sparation contre son marl ; toutes qualit.ez,,de. bon. augure, et j’y eusse trouv matire de c.a. loli.ene, s la beaut s’y ffit rencontre, mais sans elle hen ne me touche, c’est g mort avis le.principal point. Je vous dfie de me faire trouver un grain de sel dans une personne fi qui elle manque. Telle toit doric [a corn a nle lie nous agons eui ’us ue. sparassent ; les derniers adieux furent tendres et l’eussent t beaucoup davantage, si le C’ocher n’ous eat donn le loisir de les achever. Comme il vouloit regagner le temps qu’il avoit perdu, i ! nous mend d’abord avec diligence. On laisse, en sortant du Bourg la Reine, ceaux & la droite et fi quelqueslieusde 1,’1 ’ Chilly fi la gauctie puis Montlry du mme c6t Estc .ontltry qu’il faut dire ou )ontlehtry ? C’est viontlehry quand le ers est trop court, et Montlry quanl il est trop long. Montlry doric ou Montlehry, comme 3ous voudrez, toit jadis une forteresse que les.Ang19is, Iorsqu’ils toient maltres de la France, avoent talt bltir sur une colline assez lee. Au pied de cette colline est un Bourg qui ena gard le nora. Pour la forteresse, elle est dmolie, non point ar les ans : ce qui en reste, qul est une tour fort aute ; .ne..se dment point, bien qu’on en alt ruin un cote : n y a encore un escalier qui subsiste,et. deux c. ha.mbres oh l’on voit des peintures Aneloises, ce.qm fait foi de I’antiquit et de I’origine c]’u lieu. VoJfi ce q,ue.j’en al appris de votre Oncle, qui dit agor entre das les chambres pour moi ie n’en