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LET’I RIS. de ’faire btir une. realson ptoportionn6e eu quelque maul&re’ la beaut de son iardin, et de se ruiner pour cela. Nous partirons de chez elle demain 26 et nous irons prendre au Bou.rg la Reine la qommodit6 du Garrosse de Poitiers, qul y passe tousles Dimanches. L5. se doit trouver un valet de pied du Roi, qui a ordre de nous accompagner iffsques 5. Limoges. vous &crirai ce qui nous arrivera en chemin, et ce qui me semblera digne d’&tre observ6. Gependant faites bien roes recommandations fi notre marmot, et diteslui Que reut-&re i’am6nerai de ce pays-l/ que ! que ’ ettt cha erod our le faire ’offer et pour lm te.b.eau p. p P l mr compagnie. A Clamart, ce 2.5 aot 1663. LETTRE XV. A LA MME. Suite du re ? me voyage. ’ Les occupations que nous efimes & Clamart, votre Oncle et moi, furent diff&entes..ll ne fit aucnne chose digne de mmoire ; il s’amusa & des expditio. nsl

des procs,  d’autres affa ! res..I1.n’en fut.p,a axns, 

de. mol. : ie me promenai, je normls, I e passat e temps avec les Dames qui’ nous vinrent voit. Le Dimancne

ant arriv6. nous arttmes de grand matin. Mat - ’ ' ’au 

dame C. et notre Tante nous accompagnerent lusqu Bourg la Reine. Nous y attendlines pros de trois heures et pour nous desennuyer ou pour nous ennuver encore da-antage (ie ne sais pas bien lequel do[s dire), nous offlmes une Messe paroissiale. La Procession, l’Eau bnlte, le Pr6ne, rien n’y. m. anquol.t. De bonne fortune pour nous, le Cu tolt lgnorant et ne prgcha point. Dieu voulut enfin que le Carrosse