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LETTRE. Tel est le sillon enfldml, Ou le trait qui lors est formL Parmi ce spectacle i rare, Figurc-toi le tintamar Le fracas, et les siffiemens Q.u’on entendoit toua toomens. De ces colonnes embrazde II renaissoit d’autres fuzles, Ou d’autres formes de petart Ou qudqu’ autre effet de cet art ; Et l’on voyoit regner la guerre Entre ces enfans du tonnerre, L ’un coutre’l'autre combattaut,. Voltigeant, et pirofiettant, Faisant un bruit dpouventable, C’est-a-dire un brizit agriable. Filgure-toi que les ichos A t out ? as un moment de re ? os oE, t que le Cheeur des N&ddes Sen uit sous ses rotres humides . g. e ce brutt Neptune tonnf Eat craint de se voir dgtrn, Si le Mouarque.de la France At’eat rassrl par sa pr&ence Ce Dieu des moltres Tribunktux, VQ.ui crut que les Dieux infernaux enoient donner des slr&ades A quelques-unes des Nayades. Enfiu, la peur Fayant quitt II salga sa Majest : de n’en vis Ken, mais il n’importe. Le raconter de cette sorte Est toujours bon ; et quant a rolO), Are t’en fais pas un point de foi. ’ Au bruit de ce feu succeda celui des tambouts ; car le Roi voulant s’en retourner’& Fontainebleau cette mme nuit les iVIousquetairestoient commandez. On 1. vat. Puis Maucro 7.