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LETTRES. 287 rayant il faudroit que ]e vous eusse cd le surcens : il me,semb ? que cela’se pe,ut faire par procuration, et ull nest pas besoin dattendre un vo a e de Parts pour cela Stayant ce que vous men manerez, j’enverrai mfmoire. Si vous n’avez trouvk/t troquer vos terres de Clignon, M. Oudan, de Reims, s’en accommodera avec vous, et vous domiera de l’argent ou des terres dans la’. rairie Si l’affaire d’gtampes se’faisoit, ie vous consellerms de choisir des terres (t). Vous ne me mandez rien touchant le tachapt que j’ay hit de vos rentes sous sein priv{i ie ne I’av has voulu hire par derant notaire s’ans ao’ir aupara’vhnt vostre avis, /t cause des Tots et ventes. : souvenezvous, s’il vous plaist, de m’en escrire.. Je suis, MONSIEUR M0N ONCLE ’Votre trs humble et trs obissant serviteur, DE LA FON.TAINE. Je vous escrvs her vendredy, et vous priay de vou employer pour celui’ qui vous portera [a lettre car peut-estre recevrez-vous ce e-c la remire Je ’ y . say, cause de la parent de mademoiselle de La Fonta[ne luy refuser de vous escrre ; mais commec’est uOUr ? ayer de lui procurer queique employ qu’on y a mir esperer et que ces choses ne se demandent ny ne s’obtlnnent fac]lement vous en usefez cornroe. ] vous paira et voug vous rserverez si vous le uez pro’pos pour quelque meilleure occasion. ]e le r’tens point vous mportuner pour autruy dans une affa{re de. cette nature cest ben assez que fasse pour moy seulement :)e vous prie de vous excu. ’Les deux a]ina quf prcdt avoient t retranch plr M. Mournerqua.