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LIVRE PREMIER, 2 ! Ces rayons dont l’tclat dans les airs s’iparichnt, Peint d’ un si fiche mail les portes du Couchant. On void aux deux costez le peuple d’Amatonte Preparer le chetnin sur des Dauphins qu’il monte. Chaue Amour a 1 enw semble se relour De I approche du Dieu dont Thetis ra jorir. Des troupes de Zephirs dans les airs se promenent ; Les Tritons empressez snr les fiots vont et iennent. Le dedans de la Grote est tel, que les regards, lncertains de leur choix, courent de toutes parts. Tant d’ ornemens divers, tous capables de plaire) Font accorder le prix tantost ati Statuair e, Et tantost a cduy dont l’art industrieux Des tresors d’Amphitrite a revestu ces lieux. La voute et le pav’i sont d’un rare assemblage : Ces cailloux qne la ruer pousse sur son rivage, Ou qu’ enferm en son sa le terrestre element, Differens en couleur, font maint compartiment. Au haut de six pilliers d’nne dale structure) Six masques de rocaille, rl crot’sque figure Songes de l’art, Demons bizarremerit forgez, Au dessus d’une niche en face sont rangez. De mille raretez la niche est toute pleine : Un Triton d’un costd, de l’autre une 1rene Ont chacun une conque en leurs mains de rocher : Leur soufie pousse un let qni va loin s’Oancher. Au haut de chaque niche un bassin rl ? ahd l’onde : Le Masque la vomit de sa gorge profonde ; Elle retombe en nappe, et compose un tissu Od un autre basstn rend st-tost qu’ tl l’a receu. Le bruit, l’lclat de l’eau) sa blancheur transparente, D’un voile de cristal alors pen differente, Font gouster un plaisir de cent plaisirs mesld. O_and l’eau cesse, et qu’ on wold son cristal coul) La nacre et le corail en rparent l’absence : Morceaux petrefiez coquillage, croissance) Caprices infinidu hazard e} des eaux, lg arotssent aux yeux, plus bnllans tplus beaux. ’