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224 Lg Soag o VAu’x. Je n’ ai ? oint cr t’Amour, le Sommeil, et vos harmes Qi me Foat conseill4, Poarquoi done voalezvoa m’tter votre prtsence ? Attendez ua moment ; Car enfin ]e prtten mriter rlcompense Et non gas c’timent. Q.ue ]e sache du tooins quelte hearease avantare Vous amine en ces lieux : L’art y brillepar-tou ! ; cependant la nature Est plus belle en vos ycux. Flor au prix des appas de vos ltvres tcloses, N’ a rien que ? [e commun : Telle n’ est la beautt ni la frat&eur ds roses, Ni mtme lear parrum. Le Soleil peint les fleurs, ca la salson nouvdle, De traits tooins tclatans ; Et votre bouche, Amyrite, efface la plus belle Des rilles du Printcrops. Mais n’avez-vous rolnt v dans Vaux une mcrveille Oui fait ainsi ue vus admirer son ouvoir ,q P. St vous ne l avez vM, Acante vous consalle De ne point partit sans la voit. Vous voulez, dit Amyrite, parler de Sylvie ? C’est elle-m6me que i’entens, r6pondis ie. Amyrite russ6-. rena aussg-t6t sfn visag6. Rndez g’races, me dit-elle, au souvenir de cette incbmparable p[rsonne, et relevez-. vous ; car, non-seu[ement ie vous pardonne ensa consideration, mais ie veux bien aussi vous aDvrendre, le suiet de on voy[ge. On vous aura dit ififilliblemerit ce 1 u Oronte a fait punier touchant un 6crain qui se doit donner auiourd’hui ensa vr6sence ; c’est f la plus grande F6e de l’univers qu’on l’adiuge. J’ai