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! 8 LE SONGE DE VAUX. Laisse sorrent veillet. les. peuples. du Permesse Cent doctes nourrissons surmontent on effort. HHas ! dis~je, pour moi je n’ ai ren fait encor i,I ne suis qu’lcoutant parmi taut de nerveilles Me stra-t-el petrols’ d’y ]oindre aussi roes veilles Q.uand aurai-je ma part d’un si’doux entretien geillez, Muses, rtillez ; le sujet le vaut beti. DANSE DE L’AMOUR. Je dormois d’un profond sommeil, et en dormant, il me sembla que ie me promenois ’Mansy, qui n’est pas loin he Vaux’, et qhe, dans un pr’ toni Ioed/ d saules, i appercevois Cyth6r 1 Amour et les Grace avec les.plus belles Nymphes des environs, dansant au clair de la Lune. L’assembIe me parut fort belle et le bal fort bien clair : un million d’toilles servolent de lustres. Pour les violons ie n’y en entendis pus un : c.toit aux chansons qul l’on dansoit. J’afrivai sur le point que l’Amour co’mmena es paroles : L’autre jor deux Belles Tout haut se antoient Oe malgr roes atles ’ Elles me prendroient. Gageant que non,.je perdis, Ca ? ’ Fun m.’eut bnz-tOt pris, Ce sont leurs beaux noms : . ha Fontnine ’avolt.alors fait paroltre que la traduction tle l’unuque de Trence. ’……