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LE SONGE DE VAUX. 217., l’6tois ravi de les voir si fort en honneur, et tellement consider6es chez Oronte, qu’on les avoR 1og6es dans ! ’une des plus belles cltambres de son Palais. Ce n"est pas qu’il y eat rien en cela qui me surprtt, et 5u’eIIea ne m’eussent entrerenu dbs fiuparavant de l’estime que ce Hros avoit pour elles ; rkais elles ne m’avoint point encore tilt qu’il teur-en eat dotre6 cette marque : le t6moignai la joye que i’en avois g roes Conducteurs. 3.riste, clui croyoit 6tre oblig de faire les bonnears de la realson, me dit qu’elles m6rltoient blen cet apportemeat. Nous ne savona pas (aiofita-t-il) si nous n’aurons point quelque iour besoin d’elles. Apres tout elles sont rilles de Jupiter ; nous ne vondrions, pour. quoi que ce ffit, qu’elles s’allassent plaindre de nous /n ple]n Consis.toire des D[eux. Vous n’avez iamaisvfi qu’bn se soit repenti de l’acc’œil avec leque On iecfies. N’ont-elles pas fait de lear part tout ce qu’el les oat pfi pour plaire Oronte ? — ’ Lear Troup, e sa. favear pldne d’ un doux ennui, Quarid tout dart ici, ba tmvaille encor pour. lui i- ’ II serohie que le Peiatrd alt u cett penske. Voyez l’ aatre platfnds ok la Nait est trace : Cet-te Diinit !, digne de’ os antels, Et qni mtme en dormant fait du bien aux mortels, Par d calmes a]ears mollernent sogtena, La tdte sat son oras, et son bras sat la Laisse tombet des [lears, et ne ls }’dpand pas ; Flewrs que les, seuls Ztphirs font’oler sur lears pas Ces pavots qa ici-bas pour tatr s.uc aa nomme, Totit fralchement cutl’l. ls dans les. ]at,dins d So ? me Sont moiti dans res arts, et mott aans sa main Moissott plus que route autre utile au genre humain, Q.u’ elle est belle rnes yeux eette Nuit endormie ! Sans doate de l’Arnoar son ame et enrumis, Et ce frals embonpoiat sur son tdnt sans pareit Marque an ford a]otliq,ut par le mains du Soremelt, Av to s a ? pa, ’t itnabl etdantrs