hE ONGE DE’Vux. rrent de. ce lieu-1/t malgr que j’en eusse, et me firent passer dans une Chambre voisine dont les Peintures et les divers Ornemens me parurent encore plus riches que ceux’qui renolent de nons arr&ter. II y avoit un alc6ve &-1pposite des fentres ; le haut te la Chambre &oit & l’ltalienne, et,formok une esp.ce de route ouverte par le milieu, ou l’on voyoit un Tableau qui repr&entolt phsieurs figures sqlevant au Ciel. Aux quatre coins de la-v6ute’toient comhae quatre Chteurs de musique,’ composez chacun de deux Muses si bien peintes,, que je firus voir ces D&sses en ro re ersonne J fus.rr,oi-mme trom ,moi .P P -. Y. . P. qm ne ouge de l’Hhcon. Ce hen oh leles trouvos, bien diff&rent de.leur s6jour ordinair fit que je ne pus m’emp&her de leur’cfire : O.oi ! je vous trouve ici, roes divines Mattresses ! De vos monts cartez vous cessez d2tre h6tesses ! Oel charme ont eu pour vous les lambris que.ie vois ? Vous aimiez (disoit-on) le silence des bois ; DOWi vous a faitquitter cette humeur solitaire ? k vient que les Palais commencent a vous plaii’e ? J’avois beah vous’ chexher sur les bords d’art ruisseau. Mais quelle fte cause un luxe si nouveau ? (i Pourquoi vous vltez-vous de robes lclatantes. teau de Vaux, dont il est question ici, dans deux Lettres in-4 Felibien, publies sans titre, sans nora d’autur et sans date, vets 166o. ces lettres en supposent une ant&rieure qui n’a jamsis existe Dans. FApothdose d’Hercule, Hercule n’etoit autre que Fouquet lui-m&m et ce tableau faisoit allusion h sa devise : O..uo non ascendeL Le Peintre,’ v0ulant faire voit son veritable Heros victorieux de ses pas-’ sions, il le represente sous la figure d’Hercule mortrant au Ciel. Les deux chevaux qui tirent son chariot signifient les deux principales Passions de l’homme ; car le noir signifie la haine et l’alezan l’Amou. ( : z me Lettre, p. J.)
I. F&libien ne tarit pas sur les robes de diverses conlents’
et les riches manteaax dont les Muses sont rev&ues. Cli