152 Ps cit .. toit impossible : elle se moquoit du destin, disposoit des vents et des astres, et faisoit aller le monde sa fantaMe. C_yth,e.rte ne.,s ; a,,voit pas qn’elle lust venui. O._ant an epn,re, ee lap. percent, et ne douta nnllement que e ne lust lny qm eust assist PsicM. Maii, s’esrant la nuit avisle d’nn commandement qn’elle croyoit hots de to’ute possibilitY, elle dit le lentemain son ills : L’agent general de vos ariaires n’est,pas loin de ce chastean ; vons luy avez deffendu de s ecarter. ale vous difie tons, rant que vous estes. Vous serez habiles gens l’un et l’antr si vons empeschez que vostre ’.Belle ne suecombe an commandement que ie Iny feray aniourd’huy. En disafit ces mots, elle tlt venlr PsicM, l(ly ordonna de la suNre, et la mena dans la basse-court du Chasteau. LI, sons nne espeee de halle, estoient entassez Desle-mesle ouatre differentes sortes de grain. l.esquel on avoit ddnne_z,/t la D&esse pour la nY)urri L .ture de ses pigeons. Ce n estoit pas proprement un tas, mais une montagne. II occupot toute la largeur du magazin et toucP. oit le fiste. Cythere dit fi PsicM : Je ne veux doresnavant nourrir roes pigeons que de rail ou de fromerit put : c’est pourquoy separe ces quatre sortes de grains. Fais-en quatre tas aux quatre coins du monceau un tas de chacune espece. Je men vas
Amatonte pour quelques affaires ’de plaisir : ie reviendray sur’le soi3. S] mort retour i e ne trouve la
tasche faite, et qu’il y ayt seulement un grain de mesl&, ie t’abandonneray aux mlnistres de ma vengeance. Aces mots elle monte sur son char et laisse PsicM desespre. En effet, ce commandement estoit un travail. nbn as d’Hercule. mais de Demon S,tost que 1 Amour le sceut, l en envoya avertr la Fe qui, par ses suffumigations, par ses cercles ; par ’ses paroIles, contraignit tout ce qu’ii y avoit de fourmis au. monde d’accourir’ Pentour du "tas, autant .celles qui habitoient aux extremitez de’ la’terre que
