Certainement, avec ma pièce fausse…
Eh bien ! tenez, puisque vous vous croyez mon obligée… si vous voulez en une seconde me payer de…
Ah ! de grand cœur !… Comment ?
Je ne sais comment vous dire…
Parlez !
Eh bien ! voulez-vous me donner…
Quoi ? dites donc vite !
Un… un tout petit…
Que je vous donne… Oh ! monsieur…
C’est pas pour moi, mamzelle, j’ peux pas vous expliquer… mais c’est pour ma famille !
Pour votre famille ! (Après une longue hésitation et riant de l’air godiche de Nicolas.) Dieu qu’il est drôle ! Alors tenez !… bien volontiers… (A part.) comme à la pension. (Elle t’embrasse en plaçant sa main entre ses lèvres et la joue de Nicolas.) Là !
Là ! ça y est ! maintenant je peux rentrer le front haut !… chez mon oncle… je suis mûr pour le mariage.
Eh bien ! maintenant vous allez me reconduire.