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il a l’an’d’écrire sur sa bannière Pour le bonheur des humains, plus de mariage. » Oh j’en ai frém !, etaassïtôtj’ai laissé là cedangerenx livre ; faites comme

volume

moi, ïnesdames, et si vous le pouvez n*y pensez pics.

S.

Dimanche iSnovembre, le père Enfantin, entouré de toute sa famille de Paris, en costume d’apôtre est allé à heures du matin recev oir son père à son arrivée à Paris. C’était un spectacle touchant de voir cette foule d’hommes dévoués escorter à cette heure la vieillesse et le génie. Quelqu’un me demandait t quel était le canrme que le Père employait pour faire ainsi condescendre ses désirs ? La réponse m’a paru facile : H aime, il est aime. Nons remarquerons avec bonheur, que notre cause s’instruit activement. Plusieurs apôtres sa’nts-simoniens sont partis la semaine dernière pour aller dans les belles provinces du midi, prêcher notre a<ïran< : b ! ssement, soutenir nos droits, non plus la lance au poing comme les chevaliers du moyen-âge, mais par une parole de persuasion et d’amour, convier à la paix, à l’association, an bonheur, les femmes et le peuple. Gloire à pnx’l

S.

En vérité, messieurs du désintéresséFigaro, je vous prierai de me dire ce que vous entendez par la dignité humaine, et si une denu–douzaine de couturières, comme vons nous appelez, ne sont pas aussi respectables en consolidant Jecr indépendanceparle travail de leur aiguille, qne tant d’autres empto~aut, par exemple, une p ! ume facile et txercëe au ~e~ede telle ou telle coterie. Non, Messieurs, ce n’est pas par crainte ou par honte que noos