que je pose à l’influence que le prėtre et la prétresse exer « ceront sur les fidèles, je réponds : n : oi HoEME, oi, SEUL, je n’en pose aucune ; la femme parlera. La liberie pleine et entière, que je lui offre avec toute la franchise de mon t Ci : ir d’honme, je veux qu’elle soit librc encore tie me la « refuser ou de ne l’accepter qa’en partic. » Mais depuis long-temps il avait sondé, de toute la lauteur de son génie, la véritable plaie morale de toute société humaine ; il avait vu la cause de cette grande discordance, principalement dans l’oppiession qui pèse partout, plus ou moins, sur la femme ; il l’avait vuc dans cet état de mensonge auquel elle est réduite pour rendre sa position tolérabie, état négatif où elle n’est jamais elle-mème, où le génie peut bien pressentir ce qu’elle sera, mais dont vul ne peut dlire maintenant ce qu’elle est. Malgré les répugnances que ses théories morales soulevèrent lors de leur apparition, le PERE dut les donner telles qu’elles sont premièrement, pour faciliter l’étission de notre parole, l’expression libre de notre voionté dans le concours de tous les actes de la vic, qui, je le sens, n’aurait jamais pu être franclhe sans la suilime énergie qu’il a déployće en soutenant sa penséc en face des hommes. Il a dá les donner encore, telles qu’elles sont, pour faire l’éducation des hommies. Quel est celui d’entre tous les plus avaucés qui, sans elics, peut dirc qu’il aurait conçu notre liberté d’uue mauière aussi délicate, aussi complète qu’il la conçoit et la veut mainteant ?
Lorsque ma pensée parcourra les mènes terines que se pensće, c’est-à-dire lorsqu’à mon tour je sonderai l’avenir, j’exanminerai avec ma conscience de femme libre, dégagée de tous liens individuels, de toutes inspirations d’homme, si ses théories d’appel ne sont pas une route vers l’avenir de progrès auquel nous tendons. A toutes les époques d’anarchie, lorsque les hommes à courtes vues croyaient lire dans les signes des temps la disso-
