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sivenment, sans violence et saus ruse, en invoguant ie se «  cours de DIEU, dans sa manifest.tion vivante de douceur, « de paix et de beauté, en invoquant les FEMsirs. » Enfans de six nille ans qu’un peu de bruit étonne, Ne vous troublez donc pas d’un mo ! 1.ouveau qui tonne ; D’un empire ébranlé, d’un siècle qui s’en va : Que vous font les débris qui jonchent ia carrière ? Regardez en avant et non point en arrière : Le courant roule à Jéhova. (Lax.)

SoZANNE. DEUXIÈME RÉPONSE A MADAME GERTRUDE. C’est au nom des FEMMES NOoUVELLES que j’entreprends à inon tourune discussion pour répéter avec elles : Affranchisseinent, femmcs, affranclhisseinent ! Le ralliement à notre religion 1 : ouvelle cst tout-à-fait dans ce cri : si l’on commence à cntendre quelques échos parmi le monde, nous devons les recueillir les premières, et nous approcher des fenimes courageuses qui nous tendent la main. Aussi, sera-ce avec le plus grand plaisir que, pour commencer, je m’adresserai à madame Gertrude, en la prient de vouloir bien relire avec moi le second article qu’elle nous a envoyé. J’ai besoin de lui montrer que toutes. les objections qu’elle nous a faites jusqu’à présent, clle les a résolues elle-même, à mesure qu’elle réfléclissait sans doute en écrivant.