TILSE, trompe, et cesse de le faire quand le mensonge est inutile, a Dire que les femmes qui jusqu’ici ont souffert par la loi moralen’ont jamais voulu la détruire. c’est avancer un fait inexact, c’est rayer d’un seul trait de plume, la protestation de toutes ces femmes dont l’histoire nous a légué les noms, c’est oublier qn’il exista des Frédégode, des Catherine, des Elisabetb, des Ninon et tant d’autres, dont il serait facile d’établir jusqu’à nos contemporains, une longue séric que je crois devoir rous indiqner sculement, et qui n’échapperont ni à votre sagacité, ni à votre mémoire ; niais il faut, dites-vous, rappeler aux femmes qu’elles pourront commencer quand clles auront le sentiment du beau de lavraiegloire. Qui le leur donnera ? Sera-ce encore les hommes ?… Non, car vous ajoutez que les hommes le prendront d’elles, donc elles doivent commencer : qu’attendent-elles aujourd’hui
?… Vienne la femme aux émotions douces et poétiques,
à la chaleureuse imagination, au ceur de feu, elle trouvera dans les misèrcs du peuple, dans les douleurs de ses compagnes, un véhicule assez puissant, pour guider de sa vois harmonieuse, ses scurs dans la voie nouvelle. Brillante étoile du matin, messagère des dieux, elle annoucera à tous en les inondant de flots de lumière et de poésies, le règne de la paix et de l’amour. Jetant un regard religieux vers le passé dont clle respectera les traditious son ceil audacieux s’élèvera vers les régions célestes, pour y chercher la vérité qu’elle saura déconvrir et donner à tous, harmonisant sans cesse l’esprit et la matière, embrassant l’humanité dans son saint amour, tous auront à recevoir d’elle, elle appellera tous au boaheur et sera morale, car elle aura pour but d’éviter à tous la douleur principe du mal qui doit disparaître un jour. C’cst ainsi qu’elle écrasera la tête du serpent, personnificatiou da mal, et de son flambeau brillant éclairera le noude, honneur à qui de nous aura su la presscutir ! Nos ccurs la salucrout
