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cousines, et que cela nous gênerait beaucoup moins. Mon frère pouvait à peine se contraindre : un fol rire s’était emparé de lui : l’idée de le faire coucher avec Dorothée lui paraissait si plaisante, qu’il m’a avoué depuis, qu’il avait été tout près de l’accepter.

Dorimond qui en savait plus long que sa mère, décida impérativement que nous logerions comme il l’avait arrangé. Nous prîmes tous congé les uns des autres, et à mon grand contentement, je me trouvai enfermée avec ma gouvernante et mon frère.