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pour monſieur de Clèves, & combien cette amitié faiſçait une diverſion dangereuſe à la paſſion qu’elle avoit dans le cœur. Ce ſentiment luy donna un chagrin mortel pendant quelque temps ; mais l’extrémité du mal de monſieur de Clèves luy ouvrit de nouvelles eſpérances. Il vit que madame de Clèves ſeroit peut-eſtre en liberté de ſuivre ſon inclination, & qu’il pourroit