Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/71

Cette page n’a pas encore été corrigée

douleur d’eſtre maltraité ! Laiſſez-moi voir que vous m’aimez, belle princeſſe, s’écria-t-il, laiſſez-moi voir vos ſentiments ; pourvu que je les connaiſſe par vous une fois en ma vie, je conſens que vous repreniez pour toujours ces rigueurs dont vous m’accablez. Regardez-moi du moins avec ces meſmes yeux dont je vous ay vue cette nuit regarder mon portroit ; pouvez-vous l’avoir regardé avec