Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/55

Cette page n’a pas encore été corrigée

fort extraordinaire, qu’il avoit portée quelque temps, & qu’il avoit donnée à ſa sœur, à qui madame de Clèves l’avoit priſe ſans faire ſemblant de la reconnaître pour avoir été à monſieur de Nemours. Après qu’elle eut achevé ſon ouvrage avec une grace & une douceur que répandaient ſur ſon viſage les ſentiments qu’elle avoit dans le cœur, elle prit un flambeau & s’en alla proche d’une grande