Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/208

Cette page n’a pas encore été corrigée

d’apprendre ſa venue. Elle luy fit dire par une perſonne de mérite qu’elle aimoit & qu’elle avoit alors auprès d’elle, qu’elle le prioit de ne pas trouver étrange ſi elle ne s’expoſçait point au péril de le voir, & de détruire par ſa préſence des ſentiments qu’elle devoit conſerver ; qu’elle vouloit bien qu’il sût, qu’ayant trouvé que ſon devoir & ſon repos s’oppoſaient au penchant qu’elle avoit d’eſtre à luy,