Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/191

Cette page n’a pas encore été corrigée

c’étoit une réſolution bien violente à établir dans un cœur auſſi touché que le ſien, & auſſi nouvellement abandonné aux charmes de l’amour. Enfin, pour ſe donner quelque calme, elle penſa qu’il n’étoit point encore néceſſaire qu’elle ſe fît la violence de prendre des réſolutions ; la bienſéance luy donnoit un temps conſidérable à ſe déterminer ; mais elle réſolut de demeurer ferme