Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/189

Cette page n’a pas encore été corrigée

trouver ſi fortes, & elle ſe repentit de les avoir ſi bien montrées à monſieur de Nemours. Quoique la penſée de l’épouſer luy fût venue dans l’eſprit ſitoſt qu’elle l’avoit revu dans ce jardin, elle ne luy avoit pas foit la meſme impreſſion que venoit de faire la converſation qu’elle avoit eue avec luy ; & il y avoit des moments où elle avoit de la peine