Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/160

Cette page n’a pas encore été corrigée

que trop véritable que vous eſtes cauſe de la mort de monſieur de Clèves ; les ſoupçons que luy a donnez votre conduite inconſidérée luy ont coûté la vie, comme ſi vous la luy aviez oſtée de vos propres mains. Voyez ce que je devrais faire, ſi vous en étiez venus enſemble à ces extrémitez, & que le meſme malheur en fût arrivé. Je ſais bien que ce n’eſt