Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/155

Cette page n’a pas encore été corrigée

inconnus devant que de vous avoir vu, & dont j’avais meſme ſi peu d’idée, qu’ils me donnèrent d’abord une ſurpriſe qui augmentoit encore le trouble qui les ſuit toujours. Je vous fais cet aveu avec moins de honte, parce que je le fais dans un temps où je le puis faire ſans crime, & que vous avez vu que ma conduite n’a pas été réglée par mes ſentiments.