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dans un certain triſte repos qu’elle commençait à goûter, elle ſe ſentit inquiète & agitée. Enfin ne pouvant demeurer avec elle-meſme, elle ſortit, & alla prendre l’air dans un jardin hors des faubourgs, où elle penſçait eſtre ſeule. Elle crut en y arrivant qu’elle ne s’étoit pas trompée ; elle ne vit aucune apparence qu’il y eût quelqu’un, & elle ſe promena aſſez longtemps.