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mourant qu’elle ne l’épouſat ; mais toutes ces douleurs ſe confondaient dans celle de la perte de ſon mari, & elle croyoit n’en avoir point d’autre.

Après que pluſieurs mois furent paſſez, elle ſortit de cette violente affliction où elle était, & paſſa dans un état de triſteſſe & de langueur. Madame de Martigues fit un voyage à Paris, & la vit avec ſoyn pendant le ſéjour qu’elle y fit. Elle